Matériel et méthodes

Observations de télédétection :

Depuis l’espace

  • POLDER/PARASOL, prochainement 3MI/METOP : information à l’échelle globale sur la charge, la composition et la forme des aérosols
  • CALIPSO : information sur la distribution verticale des aérosols
  • FCI/METEOSAT : information sur la variabilité diurne des propriétés des aérosols
  • TROPOMI/Sentinel 5P, OMPS/SUOMI-NPP, OMI/Aura, SCIAMACHY/ENVISAT : Information sur la colonne intégrée en SO2
  • IASI/METOP: information sur la colonne intégrée en SO2 ainsi que son altitude ainsi que le contenu en cendres
  • MODIS/Terra or Aqua : information sur la charge en aérosols et l’activité thermique de surface (utile en terrain volcanique)
  • MSG/SEVIRI, HIMAWARI/AHI, GOES/ABI : information à haute résolution temporelle sur la colonne intégrée en gaz et particules ainsi que l’activité thermique de surface.

Depuis le sol :

  • Aerosol Robotic Network (AERONET) : propriétés (en colonne intégrée) des aérosols
  • Observations LIDAR (SNO-PHOTONS, EARLINET, ACTRIS) : information sur la distribution verticale des aérosols et de leurs propriétés (coefficient de rétrodiffusion et d’extinction, rapport de dépolarisation des particules)

Observations in-situ au sol :

  • Observations de surveillance de la qualité de l’air (Atmo France, EMEP) : mesures in-situ au sol de la concentration massique en gaz (SO2 et autres espèces)/particules (fractions PM2.5 et PM10).
  • Aerosol Chemical Speciation Monitor (ACSM) : composition chimique des aérosols non-réfractaires de taille submicronique (fraction PM1)
  • Mesures SMPS (Scanning Mobility Particle Sizer): Comptage et distribution en taille des particules submicroniques

A noter qu’outre l’exploitation d’observations de télédétection ou in-situ au sol issues de stations appartenant à des réseaux nationaux ou internationaux, différentes mesures listées plus haut (LIDAR, photométrie, ACSM, analyseur SO2, SMPS, etc…) proviennent de la plateforme multi-laboratoires ATOLL (ATmospheric Observations in liLLe) à l’Université de Lille.

Modélisation :

  • Modèle de chimie-transport à l’échelle régionale (CHIMERE)
  • Modèle de transport des aérosols à l’échelle globale (GEOS-CHEM)
  • Modèle atmosphérique non hydrostatique méso-échelle MESO-NH
  • Modélisation source-récepteur et modélisation statistique couplées à des analyses de rétro-trajectoires ou d’observations sur les champs de vent locaux.
  • Simulations de type « LES » (Large-Eddy Simulations)

Modélisation inverse :

  • Modèle adjoint du modèle de transport d’aérosols à l’échelle globale GEOS-CHEM
  • Modélisation inverse à l’aide du modèle régional direct de chimie-transport CHIMERE.

Inversion des observations satellitaires :

  • GRASP (Generalized Retrieval of Aerosol and Surface Properties)

Études en cours
Objectifs et publications
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